Projet Abrosyah

Les analyse sanguines prouvent que le spécialiste de l'hypnotisme, Jacob Roy est le père du jeune génie de la neropsychiatrie, Nikolaï Otcheretko. Après investigation, l'hypnotiseur aurait avoué avoir violé une fille inconnue lors d'une soirée d'échange étudiant alors qu'il était en secondaire V. La jeune femme Européenne n'a pas encore été retrouvée et nous ne pouvons savoir si elle compte intenter des procédures juridiques tardives contre le Dr Roy. Ce dernier ayant déjà été incarcéré dans des circonstances nébuleuses, Miss Staire, notre reporter spécial gardera un œil sur l'affaire jusqu'à sa résolution.

Miss Staire mentionne que le Dr Roy et le Dr Otcheretko n'ont pas voulu apporter leurs commentaires sur ces récentes découvertes.


Toujours à l’affut des meilleures histoires, votre envoyée spéciale, Miss Staire vous a déniché une nouvelle choque.

« Nymph existe vraiment! » clame-t-elle, en entrant dans les bureaux de la rédaction.

Des radiographies ont exposées la présence d’un garçon aux côtés du patient dénommé Minaru. Les spécialistes devront se pencher sur la présence détectée au cour des prochaines semaines.

« Nous soupçonnons une transformation génétique causée par une absorption de produits toxiques ou encore un changement hormonal dû à des radiations nucléaires », affirme un témoin préférant préserver son anonymat.

Toutefois, l’affaire intéresse particulièrement notre reporter, qui promet de nous tenir au courant du développement de l’investigation.

ENTREVUE DU MOIS : Alexis Bouchard

Comme premier entrevue, j’ai demandé des volontaires et Alexis Bouchard, agent de sécurité, s’est porté volontaire. Je vais donc le rejoindre chez lui, dans un sympa petit appart ement du premier étage où nous nous installons, face à face, au salon. Comme d’habitude, Alexis sourit. Il est détendu et accueillant et n’hésite pas à me mettre en confiance.

Costanza : Bonjour Alexis. Merci de t’être porté volontaire pour mon entrevue.

Alexis : Tout le plaisir est pour moi.

Costanza : bien, depuis quand travailles-tu pour Neuropharma?

Alexis : Hé bien, cela fait quelques mois que je travail ici. Environ 5 si je me souvient.

Costanza : Ok, comment aimes-tu ton expérience jusqu'à maintenant?

Alexis : Oui j'aime bien. Je trouve que mon travail de gardien est très bien ici. Je peux rencontrer les gens du personnel et je peux être plus avec moi-même. J'aime me balader et faire ce qu'on me demande avec le rapport de mon travail.

Costanza : Comment as-tu découvert cet emploi?

Alexis: En fait, c'est mon père qui connaissait quelqu'un qui lui a offert cette emploie. Mon père, vu qu'il avait trop de dette...il m'a envoyé ici pour que je les paye et que je me fasse une vie à moi. Enfin....en quelque sorte. Ma famille est nombreuse et...je paye beaucoup pour mes frères et mon oncle qui est vraiment malade. Ma mère a besoin de ses médicaments aussi. Donc...c'est ca. Je suis ici pour ma famille dans un sens. (Il fait une petite pause) Mon père me l'a donné

Je suis touchée par l'histoire d’Alexis, si pleine d’humanité et de loyauté. Nous prenons un moment de silence, le temps que j’assimile tout l’ampleur de cette déclaration.

Costanza : Oh... c'est si dévoué de toi.

Alexis : Merci. (Sourit.) j'ai été élevé pour donné...enfin...ma mère m'a toujours dit ça. (Pause.) Elle a vu que j'avais cette qualité rare

Je hoche la tête. Franchement, que rajouter de plus…

Costanza : Est-ce que ton emploi de gardien ressemble à ce que tu voulais faire dans la vie? Sinon, qu’aurais-tu voulu?

Alexis : Merci d'être patiente avec moi. (Sourit.) Ce que je veux faire dans la vie...c'est être cuisinier dans un grand restaurant..en fait..d'avoir mon propre restaurant et.... je veux devenir un danseur réputé. (pause.) Si je reste gardien...cela ne me dérange pas. Mais si un jour j'ai l’occasion...je sauterait dessus

Constance : Je voies. (Prends une petite pause.) Un grand restaurant, c'est très bien.

Je prend un instant pour regarder mes notes et je reprends, sur un ton un peu plus intime.

Costanza : Rêvons un peu, parle-moi de ton restaurant de rêve. Où serait-il, dans quel pays, quelle genre de nourriture aimerais-tu y servir?

Alexis : Mon restaurant de rêve...j'aimerais y servir plein de mets. L'endroit....je ne sais pas. Mais ..je veux un restaurant pas trop chic...juste assez normal. Je veux y servir quelque mets diverse et de plusieurs pays pour rassembler plein de nation dans une seule. Je me suis dit que sa serait intéressant de faire ca. Peut-être que je vais changer en cours de route..qui sait

M’emportant dans sa rêverie, Alexis me prend la main. Je la lui laisse, je n’en ai pas vraiment besoin pour le moment.

Alexis: Mais... vu que supposément j'ai un don de ce qui touche la nourriture..peut-être je vais inventer moi-même les menus....et peut-être je pourrait faire quelque chose avec ca... (Il me sourit.) Peut-être que...ma belle pourrait m'aider...ou m'inspirer....je suis une personne impulsif qui a des idées sur le coup

Je lui souris. Sa passion est communicative. Malheureusement, il est temps de revenir du pays des merveilles. Je reprend un air sérieux et Alexis me suit aussitôt.

Costanza : Selon toi, quels sont les points forts et les points faibles de Neuropharma?

Alexis: humm....bonne questions. (Réfléchi.) Je vais commencé par les points faibles. (Pause.) Le manque de communication.... les gens sont beaucoup dans leur coin et font rarement des activités ensembles je sais que tout le monde travail, mais...parfois je sens que personnes...est ..comment dire.... Ils se tiennent en gang et ne veut rien foutre d'autre, mais bon. (Pause.) les points positifs c'est...l'emploie. Tout le monde semble aimé ce qu'ils font...on a tous une job parfait pour chacun. Personne semble stresser. nous somme choyer pour avoir un milieu de travail bénéfique et qu'on peut se procuré ce qu'on veut. Enfin..je pense que c'est tout. Cela fait 5 mois que je suis ici...alors je ne sais pas tout.

Costanza: Oui, je comprends. Que crois-tu que tu vas retirer de ton expérience ici?

Alexis : L'indépendance et ravoir ma vie rien qu'à moi. C'est tout ce que je peux dire.

Encore une fois, j’ai droit à son beau sourire. Comment ne pas y répondre?

Costanza : Et pour finir, cet entrevue paraîtra dans le journal de l'établissement et sera lu par tout le monde, évidemment. Est-ce qu'il y a un message que tu aimerais leur laisser?

Alexis : Faites votre vie comme vous l'attendez...ne retourner jamais en arrière. Le présent et le futur sont vos allié tandis que le passé...c'est votre ennemi. soyez vrai avec vous-même.

Costanza : Merci beaucoup Alexis, je crois bien pouvoir en tirer une entrevue intéressante.

Évidemment, il s’enquière à savoir si tout était à ma satisfaction. Alors, voici pour le résident d’Abrosyah que j’ai choisi de vous présenter ce mois-ci. N’hésitez pas à m’envoyer des questions que vous voudriez poser à d’autres personnes ou encore à vous porter volontaire, comme Alexis, pour le prochain entrevue. Ce sera toujours un plaisir pour moi de rencontrer les résidents d’Abrosyah pour vous.

Pour terminer, je remercie encore Alexis pour sa participation, à une prochaine rencontre.

ENTREVUE DU MOIS : Alexis Bouchard

Comme premier entrevue, j’ai demandé des volontaires et Alexis Bouchard, agent de sécurité, s’est porté volontaire. Je vais donc le rejoindre chez lui, dans un sympa petit appart ement du premier étage où nous nous installons, face à face, au salon. Comme d’habitude, Alexis sourit. Il est détendu et accueillant et n’hésite pas à me mettre en confiance.

Costanza : Bonjour Alexis. Merci de t’être porté volontaire pour mon entrevue.

Alexis : Tout le plaisir est pour moi.

Costanza : bien, depuis quand travailles-tu pour Neuropharma?

Alexis : Hé bien, cela fait quelques mois que je travail ici. Environ 5 si je me souvient.

Costanza : Ok, comment aimes-tu ton expérience jusqu'à maintenant?

Alexis : Oui j'aime bien. Je trouve que mon travail de gardien est très bien ici. Je peux rencontrer les gens du personnel et je peux être plus avec moi-même. J'aime me balader et faire ce qu'on me demande avec le rapport de mon travail.

Costanza : Comment as-tu découvert cet emploi?

Alexis: En fait, c'est mon père qui connaissait quelqu'un qui lui a offert cette emploie. Mon père, vu qu'il avait trop de dette...il m'a envoyé ici pour que je les paye et que je me fasse une vie à moi. Enfin....en quelque sorte. Ma famille est nombreuse et...je paye beaucoup pour mes frères et mon oncle qui est vraiment malade. Ma mère a besoin de ses médicaments aussi. Donc...c'est ca. Je suis ici pour ma famille dans un sens. (Il fait une petite pause) Mon père me l'a donné

Je suis touchée par l'histoire d’Alexis, si pleine d’humanité et de loyauté. Nous prenons un moment de silence, le temps que j’assimile tout l’ampleur de cette déclaration.

Costanza : Oh... c'est si dévoué de toi.

Alexis : Merci. (Sourit.) j'ai été élevé pour donné...enfin...ma mère m'a toujours dit ça. (Pause.) Elle a vu que j'avais cette qualité rare

Je hoche la tête. Franchement, que rajouter de plus…

Costanza : Est-ce que ton emploi de gardien ressemble à ce que tu voulais faire dans la vie? Sinon, qu’aurais-tu voulu?

Alexis : Merci d'être patiente avec moi. (Sourit.) Ce que je veux faire dans la vie...c'est être cuisinier dans un grand restaurant..en fait..d'avoir mon propre restaurant et.... je veux devenir un danseur réputé. (pause.) Si je reste gardien...cela ne me dérange pas. Mais si un jour j'ai l’occasion...je sauterait dessus

Constance : Je voies. (Prends une petite pause.) Un grand restaurant, c'est très bien.

Je prend un instant pour regarder mes notes et je reprends, sur un ton un peu plus intime.

Costanza : Rêvons un peu, parle-moi de ton restaurant de rêve. Où serait-il, dans quel pays, quelle genre de nourriture aimerais-tu y servir?

Alexis : Mon restaurant de rêve...j'aimerais y servir plein de mets. L'endroit....je ne sais pas. Mais ..je veux un restaurant pas trop chic...juste assez normal. Je veux y servir quelque mets diverse et de plusieurs pays pour rassembler plein de nation dans une seule. Je me suis dit que sa serait intéressant de faire ca. Peut-être que je vais changer en cours de route..qui sait

M’emportant dans sa rêverie, Alexis me prend la main. Je la lui laisse, je n’en ai pas vraiment besoin pour le moment.

Alexis: Mais... vu que supposément j'ai un don de ce qui touche la nourriture..peut-être je vais inventer moi-même les menus....et peut-être je pourrait faire quelque chose avec ca... (Il me sourit.) Peut-être que...ma belle pourrait m'aider...ou m'inspirer....je suis une personne impulsif qui a des idées sur le coup

Je lui souris. Sa passion est communicative. Malheureusement, il est temps de revenir du pays des merveilles. Je reprend un air sérieux et Alexis me suit aussitôt.

Costanza : Selon toi, quels sont les points forts et les points faibles de Neuropharma?

Alexis: humm....bonne questions. (Réfléchi.) Je vais commencé par les points faibles. (Pause.) Le manque de communication.... les gens sont beaucoup dans leur coin et font rarement des activités ensembles je sais que tout le monde travail, mais...parfois je sens que personnes...est ..comment dire.... Ils se tiennent en gang et ne veut rien foutre d'autre, mais bon. (Pause.) les points positifs c'est...l'emploie. Tout le monde semble aimé ce qu'ils font...on a tous une job parfait pour chacun. Personne semble stresser. nous somme choyer pour avoir un milieu de travail bénéfique et qu'on peut se procuré ce qu'on veut. Enfin..je pense que c'est tout. Cela fait 5 mois que je suis ici...alors je ne sais pas tout.

Costanza: Oui, je comprends. Que crois-tu que tu vas retirer de ton expérience ici?

Alexis : L'indépendance et ravoir ma vie rien qu'à moi. C'est tout ce que je peux dire.

Encore une fois, j’ai droit à son beau sourire. Comment ne pas y répondre?

Costanza : Et pour finir, cet entrevue paraîtra dans le journal de l'établissement et sera lu par tout le monde, évidemment. Est-ce qu'il y a un message que tu aimerais leur laisser?

Alexis : Faites votre vie comme vous l'attendez...ne retourner jamais en arrière. Le présent et le futur sont vos allié tandis que le passé...c'est votre ennemi. soyez vrai avec vous-même.

Costanza : Merci beaucoup Alexis, je crois bien pouvoir en tirer une entrevue intéressante.

Évidemment, il s’enquière à savoir si tout était à ma satisfaction. Alors, voici pour le résident d’Abrosyah que j’ai choisi de vous présenter ce mois-ci. N’hésitez pas à m’envoyer des questions que vous voudriez poser à d’autres personnes ou encore à vous porter volontaire, comme Alexis, pour le prochain entrevue. Ce sera toujours un plaisir pour moi de rencontrer les résidents d’Abrosyah pour vous.

Pour terminer, je remercie encore Alexis pour sa participation, à une prochaine rencontre.